Voici les images qui accompagneront ma présentation à la Société canadienne des humanités numériques le 26 mai à Regina.

Rares sont les colloques aussi enrichissants que celui auquel j'ai participé lors du 86e congrès de l'ACFAS, la semaine dernière à l'Université du Québec à Chicoutimi.

Intitulé "Je code, donc je suis (chercher-euse)", il regroupait une poignée d'individus appartenant à la rarissime espèce de geeks programmeurs qui s'intéressent à des questions de lettres et de sciences humaines. J'y ai présenté une communication (bien reçue, je crois) portant sur l'analyse numérique du portrait des colonies de l'Atlantique français tracé par les périodiques d'Ancien Régime; une version raffinée et ciblée d'un chapitre de thèse que j'ai converti en article et qui partira en évaluation dans une revue européenne au cours des prochaines semaines.

Surtout, j'y ai rencontré des alliés. On n'en a jamais trop.

Je présenterai trois communications scientifiques au printemps. (Peut-être quatre!)

• Le 7 avril, je serai à Belfast en Irlande du nord, pour la European Social Science History Conference.
• Le 11 avril, je prononcerai une conférence au Département d'histoire de l'Université de Sherbrooke.
• Du 26 au 28 mai, je serai au congrès annuel de la Société canadienne des humanités numériques, à Regina (Saskatchewan). La date exacte de mon intervention est à déterminer, le programme final n'ayant pas encore été publié.

Titres disponibles sur ma page d'historien.

Je présenterai une communication intitulée "Arpents de neige, de trésors ou de brouillard? Les colonies d’Amérique imaginées par les périodiques savants français d’Ancien Régime" lors du 70e Congrès de l’Institut d’histoire de l’Amérique française, qui aura lieu du 19 au 21 octobre 2017 à l'UQAM. J'y parlerai de la manière dont la Nouvelle-France continentale et les colonies des Caraïbes étaient représentées dans le Mercure de France et dans le Journal des Sçavants entre 1740 et 1789.