Intitulé "Je code, donc je suis (chercher-euse)", il regroupait une poignée d'individus appartenant à la rarissime espèce de geeks programmeurs qui s'intéressent à des questions de lettres et de sciences humaines. J'y ai présenté une communication (bien reçue, je crois) portant sur l'analyse numérique du portrait des colonies de l'Atlantique français tracé par les périodiques d'Ancien Régime; une version raffinée et ciblée d'un chapitre de thèse que j'ai converti en article et qui partira en évaluation dans une revue européenne au cours des prochaines semaines.
Surtout, j'y ai rencontré des alliés. On n'en a jamais trop.